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Formes et enjeux de la densification, vers un aménagement durable des territoires bourguignons

Porteurs scientifiques : Anne Jegou (ThéMA) et Matthieu Gateau (CGC)
Laboratoires partenaires : CESAER : Eric Doidy (CR), Emmanuel Dumont (IE) + chercheur rattaché : Matthieu Gateau ; Théma : Christine Belin-Munier (MCF), Cécilia Cruz (Logistique/Sciences de Gestion), Anne Jegou (MCF Géographie), Dany Lapostolle (MCF Sciences politiques, aménagement de l’espace et urbanisme) ; LEDI, Marion Girard (doctorante) et Catherine Baumont (PR)
Financeurs : Conseil Régional, ADEME, DREAL
Portage juridique et financier : SATT Grand Est
Valorisation et coordination : MSH

L’étalement urbain en cours depuis les années 1970 change la physionomie historique de nos espaces urbains. Ces dynamiques spatiales correspondent à des tendances sociales fortes, communément qualifiées de « rêve pavillonnaire » : accès à la propriété privée d’une maison individuelle avec jardin dans un cadre de vie peu dense, près de la ville mais non citadin.

Depuis la fin des années 1990, ce phénomène spatial est décrié et les tendances sociales qui le portent également. En effet, une pensée politique et urbaine prenant de plus en plus en compte le développement durable et la lutte contre le changement climatique a mis en évidence les effets négatifs de ces dynamiques d’étalement urbain : pertes énergétiques par manque de compacité du bâti, artificialisation et imperméabilisation des sols sur de grandes surfaces le plus souvent prises aux espaces agricoles ou naturels, mais surtout recours quotidien indispensable à la voiture particulière, sur des trajets longs et fréquents. Par ailleurs, certains de ces espaces créés par les dynamiques d’étalement, le plus souvent appelés périurbains, manquent parfois de services, d’équipements et d’emplois. Dès lors, la plupart des politiques nationales dédiées à l’aménagement du territoire recherchent la densification, depuis la loi SRU jusqu’au projet de loi ALUR, en passant par la loi Grenelle 2, afin de lutter contre les effets néfastes de l’étalement urbain.
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Les objectifs du programme

Clarifier les problématiques sociétales sous-jacentes à la densification en Bourgogne

  •  Mise en lumière des mécanismes spatiaux, sociaux, économiques et politiques de l’étalement urbain en Bourgogne
  •  Perceptions de la densité selon les différents acteurs des territoires bourguignons (habitants et acteurs institutionnels)
  •  Aspirations sociales réelles des habitants au regard des densités et des formes du bâti et articulations de ces aspirations avec leurs contraintes.

Observer et analyser les politiques de densification en Bourgogne

  • Portage et mise en œuvre des politiques de densification en Bourgogne
  • Freins sociétaux contre lesquels luttent ces politiques de densification
  • Représentations de la densification selon les différents acteurs des territoires bourguignons (habitants et acteurs institutionnels)

Accompagner des politiques d’aménagement durable des territoires bourguignons

  • Bénéfices de la densification identifiés et envisageables dans les territoires bourguignons; appréhension de ses effets négatifs.
  • Nécessités liées à la densification et problématiques territoriales bourguignonnes (ex: attractivité)
  • Quelle densification mettre en œuvre dans les politiques d’aménagement durable des territoires bourguignons ?
  • Rôles des documents d’urbanisme dans l’aménagement durable.

Axes du programme :

{slider Représentations et discours autour de la densification (porteur : Matthieu Gateau)}
Il s’agit de systématiser le questionnement sur les représentations et les perceptions de la densification qui sont apparues comme étant largement négatives et très fréquemment associées aux problématiques de la mixité comme du logement social. Il apparaît également que les notions de densité et de densification restent floues et renvoient à des dimensions très hétérogènes (densité de l’habitat, du bâti, formes urbaines associées ou non, place de la nature, des nouvelles formes d’habitat urbain ou encore question de la préservation du patrimoine dans ce processus, etc.) en fonction des interlocuteurs et de leur intérêt ou non à cette manière de considérer le développement des territoires ruraux, urbains ou mêmes périurbains. L’identification des représentations plurielles de la densification implique d’insister sur les registres discursifs mobilisés par les habitants, les professionnels du secteur tels que les promoteurs, les architectes ou les bailleurs, mais également les acteurs institutionnels. Cet axe vise également à saisir ce que les réalisations en matière de densification induisent en termes d’attractivité des territoires et peut alors éclairer les raisons objectives et subjectives aux choix de résidentialisation, la manière dont le territoire vécu est approprié ainsi que les stratégies d’ancrage territorial ou au contraire de mobilité résidentielle des habitants.Dans cet axe, plusieurs terrains d’étude bourguignons sont envisagés, avec d’une part la poursuite des travaux sur les zones investiguées précédemment (Chalon-sur-Saône, Saint-Marcel, Genlis, Sennecey-les-Dijon, Vianges, Sens) notamment en ce qui concerne l’étude des représentations de la densification. D’autres communes telles que Quetigny ou Chevigny-Saint-Sauveur, dont les mutations sont importantes et en cours, feront également l’objet d’investigations. Enfin, il pourrait être opportun de cibler des communes faisant ou ayant fait l’objet d’opérations denses, telles que Dijon ou Chalon-sur-Saône. Bien sûr, ces propositions ne sont en rien exclusives d’autres terrains régionaux. Les sources de l’analyse sont des entretiens qualitatifs de recherche, avec les habitants et les acteurs, en articulation avec ces visites de sites. La participation à l’appel à candidatures « Aménagement durable » pourra également alimenter cet axe.
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{slider Politiques publiques, controverses et postures critiques sur la densification (porteurs : Anne Jegou et Dany Lapostolle)}
L’analyse des postures critiques de la densification et donc des controverses qu’elle peut engendrer s’inscrit alors en complément de l’axe précédent, en partant du constat que la densification n’est pas un objet « stabilisé » et qu’elle est perçue de manière plutôt négative ou comme un simple instrument de lutte contre l’étalement urbain conduisant à une stigmatisation du mode de vie des « pavillonnaires » et autres pendulaires du périurbain. En effet, outre les problèmes de nécessaire clarification des termes, on a récemment vu se multiplier des politiques de « dé-densification » avec de nombreux programmes de destruction de barres d’immeubles au profit d’habitats collectifs moyens ou a contrario de timides programmes de densification (douce) de l’existant (cf. projet BIMBY). En bref, étudier les représentations, les discours sur la densification et les controverses qui en émergent revient à faire la synthèse des positionnements variés qu’elle implique à travers les doctrines comme les usages parfois politiques qui en sont faits. Les politiques publiques de densification, abordées au travers de visites de sites et d’entretiens avec des acteurs, constitueront la base de l’analyse de cet axwe. La contribution à l’appel à candidatures « Aménagement durable » pourra également alimenter cet axe. {/sliders}

{slider Mobilisations autour de la densification et place de la nature (porteurs : Eric Doidy et Emmanuel Dumont)}
Cette première série de questionnements conduit, ainsi que le propose le sociologue ERic Doidy, à se poser la question de la place de la nature dans les processus de densification à la fois à une échelle bourguignonne mais également internationale. A partir de travaux en cours depuis 2009, il propose, avec Emmanuel Dumont, de voir comment la densification réinterroge le rapport des urbains à la nature. Le point de départ est que, si la nature est parée de mille vertus (bien-être individuel et collectif, outil de promotion et de valorisation d’un développement écologique plus durable, outil d’intégration sociale à travers les jardins d’insertion…), elle semble cependant faire figure de grande « oubliée » dans les questionnements que nous proposons de traiter. Bien sûr, certains programmes types écoquartiers, certaines initiatives telles que les potagers sur les toits des immeubles ou encore le retour des jardins collectifs témoignent d’un intérêt public mais aussi politique pour la nature urbaine. Nonobstant et malgré les injonctions à un développement durable, il apparaît alors que la nature constitue parfois un simple argument de promotion d’un territoire ou d’un projet, sans vision concertée ni réel projet. Il importe aussi de s’interroger sur les fondements de cette supposée « demande de nature » qui serait unanime…A travers une posture à la fois critique et compréhensive, il s’agira donc d’identifier et d’analyser les controverses liées à ces questionnements, qui peuvent donner naissance à des mouvements sociaux plus ou moins contestataires et revendicatifs, c’est-à-dire des formes de mobilisation et de résistance à certaines politiques d’aménagement du territoire. Dans ce cadre, l’examen de collectifs, parfois associatifs, qui critiquent par exemple l’artificialisation qu’induisent par exemple les écoquartiers en donnant à voir un « artefact » de nature peut constituer un terrain d’étude privilégié (mais non exclusif). Des questionnements complémentaires sur les processus de co-construction de ces discours, représentations et usages permettront de prendre la pleine mesure du phénomène.{/sliders}

{slider Logistique et densification (porteurs : Christine Munier-Belin, MCF, Sciences de Gestion)}
La logistique associée à la ville a donné naissance à un nouveau champ : la logistique urbaine, qui a pour mérite de porter l’éclairage sur les mouvements de marchandises en ville, longtemps oubliés à la faveur de questionnements sur les mobilités urbaines. Or, les changements récents des infrastructures urbaines dans de nombreuses grandes villes comme l’arrivée du tramway ou encore l’extension de la piétonisation, le développement du périurbain, la mise en valeur des hyper-centres historiques, les changements dans les structures du commerce avec la diffusion de chaînes de points de vente à la logistique centralisée et le développement du e-commerce, le développement des services ne sont pas sans conséquences sur ces mouvements de marchandises et leur place par rapport aux autres déplacements dans la ville. La densification fait partie des facteurs impactant cette logistique urbaine, en jouant sur la densité des consommateurs, des points de livraison, mais aussi sur celle des entreprises donneuses d’ordre de transport. Paradoxalement, cette densification ne fait pas l’objet de recherches spécifiques en logistique dans les revues francophones et la logistique urbaine reste encore un champ très émergent dans les revues scientifiques anglo-saxonnes. Les thématiques sont le plus souvent abordées sous l’angle de la modélisation et de la recherche opérationnelle, par l’extraction de données jugées pertinentes d’une organisation humaine systémique et complexe, pour modéliser les différents flux traversant la ville. Or, il nous paraît pertinent de développer en parallèle une autre forme de recherche, plus qualitative, plus en profondeur du phénomène en interrogeant les stratégies des différents acteurs ayant une influence sur cette logistique urbaine ou étant impactés par elle. La logistique est à la fois un ensemble d’activités opérationnelles comme le transport, la préparation de commandes, l’entreposage, mais également une fonction stratégique de gestion visant à trouver les modèles d’affaires les plus pertinents pour la gestion des différents flux dans l’entreprise et traversant l’entreprise (par une gestion des stocks, une optimisation des implantations, des relations d’affaires spécifiques avec les fournisseurs et les distributeurs, ou encore par la différenciation du produit). A ce titre elle concerne les entreprises de transport et pour la logistique urbaine, essentiellement les acteurs du dernier kilomètre, mais aussi toute entreprise, quelle que soit son activité, ce qui étend le champ de l’enquête terrain à l’ensemble du tissu économique. Elle constitue également un angle d’analyse spécifique, centré sur les flux et les interactions qui en découlent entre les différents agents économiques. Ces trois dimensions s’additionnent et renforcent l’intérêt d’une recherche de logisticien sur les questions de densification.Notre question de recherche serait donc en quoi la densification influence-t-elle les pratiques et les stratégies logistiques des acteurs, et comment elle modifie les liens entre ces différents acteurs et inversement comment les stratégies logistiques impactent la densification. La méthode mise en œuvre serait qualitative avec des entretiens semi-directifs des différents types d’acteurs économiques pertinents allant du coursier aux entreprises donneuses d’ordres (locales et nationales), en passant par les différents acteurs du transport.{/sliders}

{slider La densité vue par l’Economie Territoriale (Porteurs : Marion Girard et Catherine Baumont)}
Les stratégies de flux des acteurs résultent mais aussi contribuent à créer l’espace économique. Pour sortir de cette boucle de rétroaction, nous proposons de changer d’angle d’analyse et de poser l’éclairage sur ce champ économique lui-même à partir de l’économie territoriale.La notion de densité revêt plusieurs dimensions : on parle de densité de population, d’emplois ou de bâti ; et en économie territoriale, la densité s’apparente à la concentration d’hommes et d’activités sur un même espace. Compte tenu de cette définition, la densité renvoie au phénomène d’agglomération et de formation des villes. Dès lors, il est possible d’opposer les espaces urbains denses, aux autres espaces, dits « périphériques ». Cette opposition est à la fois physique, la ville concentre une grande partie des hommes et emplois, et économique, les espaces urbains étant créateurs de richesse. En effet, l’agglomération apparaît dans les modèles d’Economie Géographique et Urbaine comme une organisation spatiale efficace puisqu’elle facilite les interactions en rapprochant les agents économiques entre eux. La ville devient à la fois un lieu de production et de consommation, d’emplois et de résidence. La ville engendre de multiples externalités positives pour les firmes comme pour les ménages, que ce soit en termes de coût de transport, d’appariement ou de diffusion de l’information. Ainsi, la densité permet d’identifier les centres physiques et économiques d’un territoire et de les caractériser selon les activités et fonctions qui le composent. Cependant, la ville n’offre pas que des avantages aux agents économiques car, passé un certain seuil, la taille et la densité génèrent des externalités négatives. La concurrence pour l’occupation des lieux centraux fait augmenter les prix immobiliers, l’accroissement des distances parcourues favorise la congestion et la pollution, pouvant à terme diminuer le bien-être des individus et l’efficacité des entreprises. De fait, certains agents économiques tentent de fuir cette ville « trop dense » en se localisant en périphérie, créant dès lors de l’étalement urbain. La périurbanisation, permettant d’accéder à un espace de vie ou de production plus grand et à moindre coût, engendre un mitage du territoire et des distances de déplacements toujours plus grandes, et s’avère être un véritable enjeu d’aménagement pour les acteurs publics.Ainsi, l’Economie Territoriale s’est intéressée à cette question de la périurbanisation et de la densification en imaginant des formes urbaines alternatives ou en évaluant l’impact des politiques visant la compacité urbaine et la soutenabilité environnementale. Les modèles urbains développés envisagent soit :la coexistence de plusieurs centres au sein d’une même ville, on parle alors de suburbanisation des activités ou de polycentrisme. Le centre-ville et les pôles secondaires sont complémentaires dans les activités qu’ils accueillent et les fonctions qu’ils proposent.l’émergence de villes d’équilibre ou « edge cities » à la frontière de la ville principale. On assiste alors à une substitution et une concurrence entre ces nouvelles villes et le Central Business District (CBD), les nouveaux pôles urbains assurant les mêmes fonctions que le centre historique. La question centrale est donc de savoir quelle forme urbaine est la plus efficace et à quelles conditions ? Il s’agit de déterminer quelles fonctions assurent les centres et quelles activités les composent, de sorte qu’un équilibre urbain soit trouvé. Que ce soit dans une visée de complémentarité ou de concurrence entre les centres urbains, il est nécessaire d’analyser leur composition mais également leur aire d’influence. Dans le but de parvenir à un équilibre urbain soutenable, de telles configurations spatiales doivent permettre une efficacité économique pour les entreprises, mais également l’installation de ménages, consommant et travaillant dans les centres d’emplois locaux. Dans cette perspective, l’apport de l’Economie Territoriale peut être envisagé comme la caractérisation des centres urbains et de leurs aires d’influence, que ce soit en termes d’activités économiques ou de composition sociale, et d’ainsi « évaluer » la cohérence de l’organisation spatiale, en termes d’efficacité économique, d’équité sociale ou de soutenabilité environnementale.En dehors de la métropole parisienne, présentant les plus fortes densités de population, d’activités et de fonctions du territoire national, il est intéressant d’étudier des agglomérations de plus petite taille, notamment dans leur connexité avec la métropole. En effet, les processus d’étalement urbain ou de densification à l’œuvre dans des agglomérations comme celle de Dijon, peuvent également être un terrain d’étude pertinent car source de modification de la répartition des activités, économiques comme résidentielles. De telles zones d’études permettent également d’appréhender les interactions entre collectivités ainsi que les canaux de diffusion des politiques d’aménagement. L’évaluation de politiques de densification ou l’analyse de l’organisation spatiale des activités peut se faire à l’échelle d’une ville et de son agglomération, mais également à l’échelle plus large d’un système urbain régional. L’analyse ici sera principalement économétrique, au travers de la constitution de modèles économiques.{/sliders}

Méthodologie

  • Une enquête pluridisciplinaire : 6 disciplines de sciences sociales (sociologie, aménagement/urbanisme, économie, sciences de gestion, sciences politiques et géographie). Certains des chercheurs s’insèrent même dans plusieurs de ces disciplines, ce qui améliore l’interface entre celles-ci.
  • Enquête qualitative par entretiens semi-directifs, conçus à partir d’une grille d’entretien, puis enregistrés et retranscrits. pour faire ressortir la pluralité des représentations et des discours sur la densification. Cette approche permet d’en analyser les fondements et les moyens d’expression. Plusieurs publics ciblés : (habitants, usagers, acteurs institutionnels, professionnels de l’aménagement et acteurs économiques, notamment de la logistique et du transport). La conception, la passation et l’analyse de ces entretiens par des chercheurs issus de différentes disciplines constituent un levier majeur de l’interdisciplinarité de ce programme de recherche, permettant d’avoir une approche globale des questions relatives à la densification.
  • Une approche en recherche-action : accompagnement et suivi des candidatures de « l’Appel à l’Aménagement durable » lancé par le Conseil Régional (6 sites lauréats) ; ateliers de recherche action sur des thèmes corrélés au programme de recherche (date et thématique non encore arrêtée).

Communications scientifiques :

Matthieu Gateau, « Le pavillon, le périurbain et l’ancrage local. Analyse des trajectoires résidentielles d’habitants bourguignons », Colloque Université Evry Val d’Essonne : Territoires du « péri urbain » : Quelles nouvelles formes d’appropriation ?, 13 novembre 2014.

Anne Jegou, Dany Lapostolle, Matthieu Gateau et Myriam Borel “Densifying suburbs in France: spatial forms and social representations, stakes and stakeholders. The unexpected case of Burgundy and Dijon”, in “Dynamic suburbs, annual meeting of Association of American Geographers, Chicago, Avril 2015.

Catherine Baumont, Marion Girard,  « L’analyse et le traitement des densités par l’économie urbaine : enjeux et application au cas de l’agglomération dijonnaise », 11ème conférence annuelle TEPP « Territoires, Espaces et Politiques publiques », Nantes, septembre 2014

Programme des séminaires

– 21/05/15 – “Formes et enjeux de la densification, vers un aménagement durable des territoires bourguignons” au pôle AAFE

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